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    il faut être un rien tourne-pierre

    Envole-moi

     

     

     

     

    ou un petit peu aigrette

    Envole-moi

     

     

     

     

    ou alors complètement mouette

     

     

     

     

    Envole-moi

     

     

     

     

     

     

     

     

    pour marcher
    sans se casser la margoulette
    sur des rochers
    couverts de varech

    ou encore la marche ancestrale : à quatre pattes...tiens ça me rappelle le voisin qui pesait sa chienne -braque allemand- sur un pèse-personne: a)les deux pattes avant, b)les deux pattes arrière, a) + b) = le poids de la chienne,et le plus drôle c'est que c'était à très peu de chose près ce que trouvait le véto

     

     

     

     

    Photos : île de Batz

     


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    ! surprise !
    je mangeais tout à l'heure
    des figues dans le figuier
    juste à côté les framboisiers
    proposaient de nouvelles framboises
    !!!

     

     

     

     

    les graines ne tiennent plus qu'à un fil...à leur place je m'accrocherais aussi, avant de quitter une si belle demeure...

     

     

     

     

    voilà; une graine est partie...

     

     

     

     

    touche rouge

     

     

     

     

     

     

    Photos:  fusain d'Europe
    Eunymus planipes
    merci Tyaz


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    mais oui, mon grobéta !

     

     

     

    C'était à Paimpol. En ce moment, on ne verrait plus ses gambettes, la mer est pleine et sera basse à 05 h 33,  puis pleine à nouveau à 11 h 19, avec un marnage (différence de hauteur d'eau entre pleine mer et basse mer) de 8 m 20. Coefficient de marée : 78 (les coefficients vont de 20 à 120)  On va vers de petites marées ( 39 mardi prochain), la prochaine grande marée aura lieu à Paimpol mercredi 28 octobre avec un coefficient de 113.

     

     

     

     

     

    Photo : port de Paimpol.

     


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    ...je ne sais plus ce que je voulais dire...de quoi parlions-nous avant ?...

     

     

     

     

     

    Photo : derrière chez moi.


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    c'est donc ton frère !
    jamais il n'arrête son char, celui-là...

    entre les nuits blanches
    et les nuits ensoleillées
    je choisis les nuits

    dormez, braves gens
    la nuit, chez moi,
    dans les murs ou hors les murs
     tous les humains
     en pilote automatique jusqu'à demain
    je vis sans bruit
    sans périmètre
    l'âme grand ouverte
    seule avec l'univers
    libre
    juste mon écaille de tortue me suit
    silencieuse aussi

     

     

     

     

     

    Chaque matin, Helios sortait à l'Orient, d'un marais formé par le fleuve Océan. A son char d'or, les Heures attelaient des chevaux ailés, d'une blancheur éclatante, qui jetaient des flammes par leurs naseaux. Helios prenait alors les rênes des coursiers et gravissait la voûte du Ciel. Des rayons étincelants jaillissaient de son sein. Après avoir atteint à midi le point le plus élevé de sa course, Helios commençait à redescendre vers l'Occident, où il semblait s'enfoncer dans l'Océan.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En réalité, il trouve là une barque, ou une coupe d'or, façonnée par Héphaistos, dans laquelle l'attendent sa mère, sa femme, ses enfants; il navigue toute la nuit et se retrouve le matin à son point de départ. Dieu de la lumière, Hélios était aussi le dieu qui voit tout et sait tout. C'est le dieu qui sonde tous les coeurs, l'infaillible, que les immortels et les mortels ne peuvent tromper ni par leurs actions, ni par leurs plus secrètes pensées.

     

     

     

     

     

     

    Photo : une astéracée (du grec "aster" = étoile) au bord de la rivière.

    la photo de base, que j'ai bidouillée en nuit blanche et nuit noire

     


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