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    savoir survivre dans des conditions extrêmes

     

     

     

     

    combler l'homme de ses bienfaits, le nourrir, le soigner

     

     

     

     

    effacer ses cicatrices

     

     

     

     

    hé ! c'est écrit karmous ici ? !!!

     

     

     

     

     

     

    PHotos : jardin de Lavaselle, île de Batz, figuier de Barbarie.


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    lorsque je pars faire un tour
    j'ignore souvent la  mesure
    mais pour ceux qui en connaissent un rayon
    je vous rassure

     je pars en bonne compagnie,
    avec un irrationnel un transcendant
    je pars avec lui à l'infini
    et Pi c'est tout

    lorsque les verts s'entrechoquent
    les arbres tchinent avec leurs reflets
    c'est la nature en fête

     

     

     

     

     

     

    rivière 3

     

     

     

     

     

     

    rivière 14

     

     

     

     

     

     

    Photomontages : la rive et la rivière, mêlées dans ma mémoire.

    j'ai eu l'idée de ce billet en voyant que j'avais choisi,
    pour les "bidouiller", parmi mes photos de la rivière,
    la 3 et la 14, et Pi voilà :


    (je trouve que les nouveaux élèves ont de la chance
    on voit bien sur cette animation
    le rapport entre le diamètre-1- et la circonférence-Pi-)

    j'ai pensé à lui en choisissant, dans mes photos de la rivière, la 3 et la 14


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    Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

     

     

     

     

    J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

     

     

     

     

    Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

     

     

     

     

    Photos : Roscoff 2015
    Rimbaud, Le bateau Ivre, strophes 21 22 23

     


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    elle marchait
    à marée basse

    avec un air de fille
    aux cheveux de lin

     

     

    centrée concentrée les yeux fixés sur ses pensées ensablées

     

     

     

     

     


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    S'il suffisait de cliquer sur un morceau pour que tout se recolle.....

     

     

     

     

     

     

     

    Photo : le long de la rivière, Malesherbes.


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    comme une brume entre le monde et moi...mettre les voiles en douceur

     

     

     

     

     

     


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    c'est calé
    car elle n'a ni trame ni chaîne

     la politique du ni-ni
    ni plus ni moins
    ni Dieu ni maître
    ni ange ni bête
    ni l'un ni l'autre
    ni vu ni connu
    ni chaud ni froid
    Nini Patalo

     

     

     

     

     

     

    Autrefois belle dentelle manuelle, puis dentelle mécanique, puis dentelle chimique ! en plastique fondu à la soude caustique ! mais ouvaton ?

     

     

     

     

    Photo : mercerie charentaise.


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